Autant le dire, ces derniers mois j’ai été un âne mort.
Genre limite j’entendais les mouches voler autour de ma carcasse. La totalité de mon énergie a servi à lever mon pauvre corps de bon matin, à avaler un petit pain Pasquier devant un café et à affronter le métro pour accomplir mes tâches professionnelles avec la rigueur qu’elles demandent. Je suppose qu’il y a des moments comme ça, dans la life, où la créativité passe un peu à la trappe.